Avé à vous tous. Tout d’abord, j’aimerais exprimer ma surprise quant au fait que je n’ai reçu aucun commentaire sur mon dernier article où je disais que l’élection de dimanche dernier était jouée d’avance. Et pourtant, aucun signe de contestation, aucun mot m’ordonnant de retirer ses paroles après le résultat du soir. Je ne comprends pas car finalement la gauche a gagné. C’est dans tous les journaux télévisés, radiophoniques et en ligne… Comment ça ils n’ont qu’un peu plus de 200 sièges ?! On nous aurait menti ? Blague à part je ne m’attendais vraiment pas à ce sursaut. Cela fait penser un peu au canard à qui l’on aurait coupé la tête mais qui continue de marcher malgré tout. Ajoutez à cela la défaite de Juppé et la séparation de Ségo d’avec Mr Guimauve et il sera inutile de de vous dire que l’on s’est bien amusés quand même…
Toues ces émotions terminées, il faut reprendre son souffle. C’est à cet effet que j’ai pensé vous parler d’un film passé quelque peu inaperçu en France il y a quelques mois et qui vaut le détour : Hyper Tension. Comme moi aussi je l’avais loupé lors de sa sortie en salles, j’ai pu le visionner grâce à mon cousin d’Amérique… Hyper Tension est ce que l’on pourrait appeler un film de malade(s). Un petit résumé de l’intrigue vous éclairera sans doute un peu plus. Chev Chelios est un tueur à gages qui, un matin, se réveille en ayant la tête dans le cul. Une cuite la veille ? Plutôt un poison qui le tuera au bout d’une heure. S’il veut survivre, le seul moyen est que son niveau d’adrénaline soit élevé. Par conséquent, il doit trouver un antidote tout en faisant n’importe quoi…
Vous l’aurez deviné sans mal, ce film est un film d’action où l’on peut apprécier les prouesses physiques de Jason Statham faisant la cheerleader sur une moto, cognant tout et n’importe quoi… Tous les moyens sont bons pour rester en vie comme sniffer de la cocaïne, utiliser un défibrilateur, de l’adrénaline artificielle. Cette course-poursuite contre le temps est également présente dans la réalisation car on a l’impression que le duo de réalisateurs, Mark Neveldine et Brian Taylor, est incapable de faire durer un plan plus de cinq secondes ( Michael Bay montre-toi, on sait que c’est toi derrière la caméra !) et ne peut s’emêcher d’utiliser des effets heureux (les basculements de caméra lors des scènes de poursuite) ou malheureux ( le coup de la vision floutée ça existe aussi sur Photoshop…). Bref ces deux gaillards ne resteront sans doute pas dans l’Histoire du cinéma mais il n’empêche que cela reste efficace. L’autre point fort de ce film est qu’il ne se prend jamais au sérieux (il est vrai que le contraire aurait été ennuyeux) et qu’un petit brin d’humour sème ici où là le bien autour de lui. Mais tout cela était trop beau car d’un autre côté le film pâtit d’une vulgarité sans limite. Je ne parle pas ici d’un quelconque langage cru qui est légitime dans ce type de film mais plutôt de cerataines scènes vraiment limites comme celle où Chelios fait l’amour avec sa copine devant des centaines de touristes juste pour remonter son niveau d’adrénaline où bien encore celle où elle lui fait une petite gâterie alors qu’il est en train de flinguer des mecs depuis sa voiture…
Au niveau des surprises, on appréciera (ou pas) la petite voire minuscule apparition de Chester Bennington alias Mr Chanteur un peu gueulard de Linkin Park et cette interrogation constante nous effleurant l’esprit : est-ce un cartoon où un film ? Impossible à dire. On pourrait même qualifier le film d’adaptation non officielle de GTA tellement le film semble lui faire des yeux doux. Pour conclure, un film d’action sympa et original qui aurait pu devenir méga-culte avec un peu plus de finition et une fin moins bizarre…
Note finale : 13/20
j'ai regardé le film
c'est du gros n'importe quoi ^^
surtout la scene avec sa copine dans le quartier chinois >< "tu dis toujours que tu veux plus de spontanéité"
enfin bon pour moi ca vaut pas 13 enfin ca vaut pas la moyenne
pas mecontent de l'avoir loupé ce film
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